Resources » Maladie de Willebrand | Congrès Mondial 2022 de la FMH
LIENS
DÉTAILS

Année: 2022

Langue: Français

Cette ressource est également disponible en : Anglais Espagnol

Auteur(s): Fédération mondiale de l’hémophilie

Format: Enregistrements du Congrès

Maladie de Willebrand | Congrès Mondial 2022 de la FMH

INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

Dans ces sessions issues du Congrès mondial 2022 de la FMH, écouter Peter Lenting, Magdy El Ekiaby, Nathan Connell, Brooke Sadler, Giancarlo Castaman, James O’Donnell, Baiba Ziemele, Veronica Flood, Paula James et Helen Campbell aborder des sujets d’actualité concernant la maladie de Willebrand.

La Fédération mondiale de l’hémophilie ne pratique pas la médecine et ne recommande en aucun cas de traitement précis à qui que ce soit. Pour un diagnostic ou une consultation sur un problème médical spécifique, la FMH vous recommande de contacter votre médecin ou le centre de traitement local. Avant d’administrer tout produit, la FMH recommande aux patients de vérifier les doses avec un médecin ou le personnel du centre de traitement, et de consulter les instructions écrites fournies par le laboratoire pharmaceutique.

La FMH ne fait la promotion d’aucun produit pharmaceutique particulier et toute mention d’une marque commerciale dans cette présentation est strictement à des fins éducatives.

Dans cette session plénière issue du Congrès mondial 2022 de la FMH, Peter Lenting (France) a reçu le prix Arosenius et s’est concentré sur les stratégies thérapeutiques nouvelles dans la MW. Elles comprennent l’utilisation de l’anticorps bispécifique emicizumab dans le traitement de la PW de type 3, et de l’aptamer BT200 pour faire augmenter les taux de complexe FW/FVIII. De plus, il présente des approches nouvelles basées sur l’utilisation de molécules de synthèse tet d’anticorps à domaine unique, deux solutions qui sont en phase de découverte préclinique.

Dans cette session issue du Congrès mondial 2022 de la FMH, Magdy El Ekiaby (Égypte), Nathan Connell (États-Unis), Brooke Sadler (États-Unis), Giancarlo Castaman (Italie) et James O’Donnell (Irlande), évoquent l’amélioration significative ces dernières décennies des connaissances sur la pathogénèse de la maladie de Willebrand (MW), grâce notamment à une cartographie génétique détaillée du gène du facteur Willebrand, et à des avancées dans les technologies génétiques et bio-informatiques. Cependant, celles-ci ne se traduisent pas toujours facilement par une amélioration de la prise en charge des patient·es atteint·es de la MW et présentant des taux faibles de facteur Willebrand. Les intervenant·es de cette session examineront : la MW dans le cadre ou non du facteur Willebrand ; la prise en charge de la grossesse chez les femmes atteintes de la MW ; ainsi que le rôle de l’axe FW/ADAMTS-13 dans l’infection par la COVID-19.

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